French Songs #9 : Compilation Christophe



Pop 60' ou torturée, Rock instrumental ou tentative prog, collages, electro et synthé...
50 ans de carrière condensé en 30 morceaux, c'est riche.
Seul conseil à suivre, se déplacer pour ses concerts. Christophe n'a pas peur de faire sortir une bonne partie de la salle en proposant un concert en trois actes... Un long set electro pour commencer avec ses morceaux les plus récents, expérimentaux. Il laisse la place à une deuxième partie en filiation avec Suicide : Zerkalo, seule en scène... (http://www.myspace.com/vzerkalo)
Nous nous retrouvons donc à 2 heures passées sans un tube et une bonne partie de la salle dehors ! Pour un artiste de "variété" c'est pas mal.
On finit donc conquis avec les Aline, Les paradis perdus, le dernier des Bevilaqua et consort dans une envolé nostalgique soutenue par une belle section cuivre, un duo basse-batterie à prendre au sérieux et un chanteur qui revêt, littéralement, son costume de chanteur populaire de la même manière qu'il quitte celui de Musicien : avec élégance et simplicité.

Playlist :

Avec des mots d’amour
Le temps de vivre
Cette vie là
Tu es folle
Goodbye, Je reviendrai
Excusez-moi Monsieur le professeur
La petite fille du troisième
Rock monsieur
The girl from Salina
That’s nothing
Red Mountain
Avec l’expression de mes sentiments distingués
Emporte-moi
Les paradis perdus
Ferber endormi
Le dernier des Bevilacqua
Le petit gars
Histoire de vous plaire
Un peu menteur
Le beau bizarre
Agitation
Saute du scooter
Il faut oser le faire
Souvenirs
Les jours ou rien ne va
Voix sans issue
Rencontre à L’as Vegas
J’aime l’ennui
Nuage d’or
Interview


1 commentaire:

mangedisc.fr a dit…

Hey!
Si tu regardes la playlist tu ne verras que 4 "chansons nostalgie", la dernière étant au milieu, "les paradis perdus"...
On va dire que Christophe se paye des vacances au soleil grâce à 5 ou 6 tubes dont le dernier date de plus de trente ans.
Donc je ne pense pas que tu entendes quoi que ce soit de nouveau de Christophe sur Nostalgie, ça serait déjà fait. En l'occurrence, je ne parlerais pas de reconversion.
Bise